C'est le tour de Camille Maumet (CNRS, INRIA Rennes)

Données issues de scan cérébraux.

Montre que les chaînes de traitement sont très longues, avec de nombreux choix possibles.
Une étude sur 70 équipes d'experts travaillant sur le même jeu de données n'ont pas forcément la même réponse à des questions de recherche

C'est l'heure de la pause.

Et de la promenade du toutou...

À plus o/

Ça reprend avec la session reproductibilité statistique.

Christophe Hurlin (Uni. Orléans) et l'agence CASCADES

Classification des revues CNRS : 75% pas de politique éditoriale de partage de code et données.

7% des revues ont une DAP

Nelle Varoquaux (CNRS, UNIV. Grenoble)

"Apprentissage statistique et applications"

Repro statistique : est-ce qu'une expérience de statistique est replicable sous les mêmes conditions (taille échantillon, etc) ?

Isabelle Botron , professeure d'épidémiologie (Uni. Paris Cité)

Problématique : reproductibilité des essais cliniques pas possible mais transparence et confiance dans les essais.

Les auteurs intervertissent le critère de jugement principal et secondaire pour avoir un effet positif.
Le protocole d'essai doit être enregistré sans possibilité de le modifier

Grosse montée des preprints dans le domaine médical suite au COVID : la peer review change peu le fond de l'article mais c'est important d'avoir les articles plus rapidement

sauf que les preprint ont bien alimenté les cercles complotistes. On peut penser à un preprint sur la transmission post-vaccin qui comparait des non-vaccinés qui ont choppé le premier variant et des vaccinés qui ont chopé delta, etc. Les complotistes citent le preprint, papier scientifique donc gage de qualité, le fake se répands.

@david_colquhoun But it is now ! (with strikes and so on !) (but i'm afraid it's only in french)

Should we thanks the strike people ? 😅
@david_colquhoun @rcarto